Carlos Santana cannabis

Mirayo : Carlos Santana lance sa propre marque de cannabis

La liste des légendes décidant d’entrer dans le monde du cannabis et de créer leurs propres marques pousse de jour en jour; jeu de mots non-intentionnel.

Néanmoins, la manière avec laquelle Carlos Santana a décidé de développer son business et de diriger ses revenus n’est pas très habituelle.

L’origine du nom

Le nom de la marque, Mirayo, vient des mots espagnols “mi rayo” (mon rayon). Il rend hommage à l'héritage mexicain de ce grand artiste ayant gagné 10 fois le prix Grammy, ainsi qu'à l’inspiration qu’il donna aux consommateurs pour suivre leur lumière intérieure.

La weed pousse à la lumière du soleil, ce qui joue un rôle dans le choix de ce nom.

L’ethos de la marque

Cette marque de produits premiums à base de cannabis fut créée en vue de parfaire la guérison et le bien-être spirituel des consommateurs, en aidant les communautés que Carlos choisit d'appuyer.

Il espère que cette marque aide les personnes à trouver la paix intérieure dans un monde chaotique, en disant:

“Je veux être capable de créer une marque qui puisse vous apporter un détachement”. Il ajoute: “le détachement c’est quand t’en as rien à faire, t’en as rien à foutre. C’est quand tu fais face à des choses importantes, mais qu’au niveau émotionnel, tu ne te laisses pas couler".

Carlos Santana cannabis

Le profit

Les revenus du business sont rendus aux tribus amérindiennes en aidant à leur éducation.

Dans un entretien avec High Times, Santana affirme: “Mon objectif est de partager les revenus financiers avec les réserves amérindiennes - Navajo, Apache, Hopi, tout le monde-, en aidant les enfants à travers la planète. Mais tout particulièrement, je voudrais m'engager auprès de la majorité des indigènes américains, sinon de tous, sur leur éducation".

Il continue: "Espérons que nous pourrons inviter nos frères et sœurs à devenir des avocats. Ils seront les nouveaux guerriers des temps modernes, les guides qui protègent les droits que l’homme blanc ne garantie pas. Alors, pour moi, c’est tout simplement utiliser cette énergie pour le bien suprême de mes sœurs et frères”.

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