OYÉ OYÉ! Lisez tout sur ce sujet !
Est-ce que le lien entre l’art et la culture cannabique vous plaît?
La semaine dernière a inauguré le Festival de Cinéma Cannabique, en entrée libre, sur le Fleuve de la Plata.
Près de 20 court-métrages fictifs et documentaires sur le cannabis, ont été exposé durant le festival.
Le festival ne promeut pas la consommation du cannabis, mais essaye de fournir des informations sur l’usage du chanvre et ses « questions clés liés à la thématique, notamment sur la santé, la justice et les droits de l’homme ».
Deux des plus importants court-métrages présentés au festival sont:
« Une histoire de prohibition », de Martín Rieiznick et de Suppa Altman (Argentine). L’histoire raconte l’arrêt de Eric Sepúlveda à Cordoba, Argentine, pour la possession d’huile de marijuana médicinale. Il fut transféré dans une prison de sécurité maximale et pourrait-être condamné à 15 ans de prison.
L’autre petit film, « Ramène-le à la maison», fut produit aux États-unis par Linda Booker et Blaire Johnson. Le documentaire raconte l’histoire, présente et future, du chanvre, en utilisant des animations et des entretiens avec les leaders globaux de l’industrie, explorant le potentiel de sa culture multimillionnaire, laquelle pourrait créer des centaines d’emplois, et produire, écologiquement, des biens liés à la santé, estimés en millards de dollars.
Chaque réunion permet au public d’apprécier une variété de films sur cette thématique. Les contenus sont divisés en 3 sections: « Fictions cannabiques », « Activisme cannabique » et « Santé et Cannabis ».
‘Cannabis fictions’,’ Cannabis activism’ and ‘Health and cannabis’.
